La ferme du Bocquiau est depuis peu un vaste chantier. Sa vieille carcasse est maintenant à nu et montre ses arrangements de briques rayées.
Voilà le projet des architectes (pas nous, mais ceux de l’atelier 204!): ferme du bocquiau
Comme nous aimons bien les chantiers nous aussi, nous lui rendons visite chaque semaine pour découvrir ses trésors et apprendre à la connaitre.


cela fait drôle de voir cette ferme comme cela quand on l’a connu en activité que l’on y a joué et pris son goûter dans la cuisine. Quand on a connu les étables pleines et vu des veaux y naître. plein de souvenir d’un temps heureux, Pouvoir jouer dans une ferme lorsque l’on est un enfant c’est merveilleux, c’est un terrain de jeux exceptionnel. Je me rappelle les parties de « mouchoir »dans la pâture derrière la grange, les parties de cache-cache, le hangar dans lequel la fermière nous avait installé « notre maison »…. que des souvenirs heureux.
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Merci beaucoup pour ce récit, très précieux pour nous!
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Enfants nous traversions la ferme pour aller à l’école, au milieu des poules, coqs et canards de barbarie. Nous disions bonjour à Marie la fermière. L’allée de platanes était déjà là. A l’époque le bras mort allait jusqu’au mail du bon pêcheur et les péniches s’arrêtaient aux silos pour décharger le grain, à une centaine de mètres de la ferme du Bocquiau. Il y en avait une que ma sœur et moi aimions bien, c’était « l’écureuil ».
Nous ne traversons plus la ferme, le bras mort a été rudement raccourci, les silos ont disparus et les péniches Freyssinet aussi. Maintenant foulques, poules d’eau, grèbes, cormorans, hérons, canards sauvages, mouettes et goélands, occupent le terrain.
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Merci de partager ces souvenirs Jean-Michel. Cela nous donne une vision encore plus riche de cette ferme (à rayures)!
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